NOTRE VISION :
VERS PLUS D’HUMANITE
Nous rêvons d’un monde dans lequel nous prendrons soin des hommes, des femmes et du vivant dans sa globalité, et qui tiendra compte des limites planétaires.
Nous rêvons d’un nouveau modèle de société et de coopération ; pour traverser les crises de demain et révéler notre profonde humanité.
Nous pensons qu’il faut oser s’élever et changer de cap dès maintenant ; prendre des risques pour s’aligner avec nos valeurs.
Nous sommes persuadés que les entreprises qui existeront et réussiront demain sont celles qui intègrent, dès à présent, ces questions au cœur de leurs stratégie et business model.
NOTRE MISSION
Accompagner les organisations dans la redirection de leur stratégie, afin de tenir compte des limites planétaires et de la nécessaire résilience face aux crises actuelles et futures.
NOS VALEURS
Humilité
- Nous reconnaissons la difficulté d’une redirection et restons humbles face à la complexité du monde.
- Humains, humanité, humilité => retournons à nos racines et à la terre (humus).
Intégrité
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- Être intègre pour ne pas se voiler la face et être ensemble à la hauteur des enjeux.
- Mais également pour aller à la racine des sujets en dehors de toute doxa partisane.
Audace
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- Avoir le courage d’oser prendre un virage nouveau.
- Audace d’arrêter ou de rediriger certaines activités, peut-être rémunératrices à court terme, mais à l’impact environnemental et social non soutenable.
Bienveillance
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- Rester ouverts et à l’écoute sans posture culpabilisante.
- Reconnaître et admettre que nous sommes tous en chemin !
NOTRE HISTOIRE
Comment est né « 50 degrés à Londres » ?
Créé en 2023 par Mylène Ries, « 50 degrés à Londres » est le fruit d’un long raisonnement quant à l’impact réel des sociétés de conseil en RSE et quant à la question de la radicalité nécessaire à avoir face aux enjeux environnementaux.
Car la radicalité signifie le retour à la racine des choses et des problèmes. Etre radical est donc nécessaire afin de résoudre réellement les enjeux et attaquer les racines systémiques et profondes de ces derniers. Toute autre tentative serait vouée à l’échec, ne soulageant que des symptômes sans conscience du mal profond et en ne proposant que quelques aménagements marginaux.
Ainsi en 2020 déjà, Mylène concluait sa thèse professionnelle en innovation durable par ces mots :
« Ce chantier est immense, je le conçois. Car […] il n’est pas question de rejeter la technologie mais d’en interroger ses usages de demain, de repenser nos besoins utiles, de faire en sorte que les outils aient une place autre dans nos vies. C’est tout un rapport aux objets qu’il faut maintenant requestionner afin de remettre la technologie à la place qu’elle doit occuper : être au service de l’Homme.
En cela cette question est une question de société, c’est un projet de civilisation qu’il faut interroger et réécrire. Pour imaginer un monde qui tire le meilleur de la technologie dans le respect de l’Homme, de sa capacitation, et non pas un monde dans lequel la technologie s’impose à lui, avec ses propres modèles et dans la méconnaissance la plus totale des impacts à long terme (qu’ils soient environnementaux, économiques ou sociaux).
Pour arrêter cette « course suicidaire et inconsciente », comme l’appelle Edgar Morin, la technologie ne doit être la solution à rien, mais doit être un outil au service de la solution.
Nos problèmes sont humains avant tout, la solution doit être humaine avant tout. »
C’est dans cette optique qu’est né « 50 degrés à Londres ».
LA FONDATRICE
Après des études scientifiques, Mylène Ries sort diplômée de l’Ecole Centrale Paris en 2009.
Elle a travaillé 13 ans au sein du Groupe Michelin dans différentes fonctions, notamment pendant 10 ans dans les métiers de la Supply Chain (prévisions de ventes, projets de restructuration et architecture business, responsable Supply Chain Opérationnelle….).
En 2019, elle décide de se réorienter dans les métiers de l’environnement afin d’aligner sa vie professionnelle avec ses valeurs personnelles. Elle reprend donc des études aux Arts et Métiers et est titulaire d’un Mastère Spécialisé « Management du Changement et Innovation Durable ».
A l’issue de ce master, elle occupe différentes fonctions au sein du Groupe Michelin (chargée de mission RSE, analyse du cycle de vie et éco-conception, prospective et quantification de scénarii à 2035, taxe carbone, quotas carbone et valorisation circulaire…).
Elle quitte le Groupe Michelin en 2022 et décide de s’installer en Bourgogne dans l’Auxois afin de créer sa structure de conseil « 50 degrés à Londres » dans le but d’accompagner les entreprises et organisations dans la redirection de leur stratégie.